Drapeau belge en tête, ici porté par
Gilbert malheureusement disparu, le groupe se prépare à
débuter son périple, |
suivit de son Ordonnateur accompagné de ses marmitons. |
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Le cortège se met en branle aux environs de
midi et va parcourir les rues du village pour récolter les ingrédients
nécessaires à la préparation du "Caudia".
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Deux chariots, chargés des plus jeunes participants, tirés
par deux paires de véritables branbançons ferment la marche.
Le tout accompagné d'une musique jouant des airs de fantaisies. |
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Notre tradition veut qu'une de nos haltes soit chez Monsieur
le Curé en sa cure dès le début de notre parcours.
Nous le voyons ci-contre
en compagnie de notre Président d'Honneur.
Il ne faut y voir, ici, aucune signification particulière,
en effet lors du parcours il est habituel d'être reçu par
nombre d'habitants de notre commune.
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Il est bien entendu que chaque réception est accompagnée
d'une collation. |
La quête des ingrédients se réalisait
autrefois par la visite des fermes environnantes.
celles-ci ayant peu à peu disparues, suite surtout aux diverses
voies de communications importantes qui traversent notre commune, cette
coutume se transforma en quête chez les habitants du village, généralement
petits fermiers.
Ce mode de vie s'est éteint également au fil du temps,
c'est pourquoi à l'heure actuelle, cette tradition s'est transformée
sous la forme de participation financière.
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D'une part, quinze jours avant la kermesse, par le passage des menbres
du comité dans les rues à l'aide de listes de souscriptions
et d'autre part lors du parcours à l'aide de troncs.
Ces coutumes sont très vivantes encore actuellement,
malgrès la récession économique le bois-d'hainois
collabore ainsi à la continuité de sa ducasse et se son folklore.
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